le 4 avril devant la Préfecture :l’autisme de nos interlocuteurs

Forte mobilisation pour défendre les emplois dans les écoles.

Je n’ai pas la religion du chiffre, mais les photos parlent d’elles mêmes.
Très peu de banderoles  syndicales ; seule la CFDT, qui pourtant ferait mieux de se cacher, était ostensible.

Des gens essentiellement là à titre personnel, motivés sur ce sujet spécifique de l’école de leurs enfants. Beaucoup de jeunes, donc, entre 30 et 40 ans.

Une batucada, des sifflets, beaucoup de bruit.

       

Des délégations reçues école par école….pour une fin de non recevoir. Pas d’argent. Les postes seront donc effectivement supprimés.

La voix populaire, donc, n’est pas entendue. Le sentiment que tout ça n’a servi à rien. Le sentiment d’être pris pour des cons.         

Il ne faut pas en rester là. Mais que faire ? Il reste 3 mois pour préparer la rentrée, puisqu’on sait déjà que les postes ne seront pas reconduits.

Il faut, par des activités de harcèlement, empêcher les institutions de fonctionner. Les écoles, mais aussi l’Inspection Académique, et puis, les

grands responsables  des restrictions budgétaires, les BANQUES !

Des pistes : retrait massif d’argent, occupation des agences….

Le danger : l’essoufflement. Ce mouvement doit prendre de l’ampleur, il ne faut pas céder au découragement !

Gigi