Le président du pays le plus riche du monde… galère…
Il se démène dans l’espoir d’arrêter le compte à rebours vers un défaut de paiement qui serait « calamiteux ».
« Allons-nous perpétuer un système qui permet de subventionner les recettes des compagnies pétrolières et gazières, par exemple, ou les propriétaires d’avions d’affaires, puis appeler à effectuer des coupes dans la sécurité alimentaire ou la météo, des services que le gouvernement fédéral doit vraiment rendre aux Américains? ». s’est indigné un sénateur démocrate.
B. Obama souhaite aussi que les plus aisés paient davantage d’impôts. Il refuse des coupes qui grignoteraient les grands programmes sociaux. La Maison Blanche qualifie cette stratégie « d’approche équilibrée« *.
Le dollar est moribond. Un billet ne vaut pas le prix du papier sur lequel il est imprimé. Mais comme quasiment tous les investissements sur les marchés sont pure spéculation, que peuvent faire les spéculateurs de leur dollars ? Acheter du dollar !
*NDRL : Des milliards de dollars pour jouer les gendarmes du monde. Combien pour les budjets visant à protéger les zuniens et leur niche écologique, en ces temps de modification climatique, de pollution des nappes phréatique et centrales nucléaires explosives ?